Armor Lux, des magasins de mode pour toute la famille
Armor Lux est une enseigne bretonne de prêt-à-porter pour hommes, femmes et enfants, qui propose des collections sur le thème de la Bretagne et de la mer.
Le magasin est reconnu pour l'originalité de ses collections qui puisent leur inspiration dans les couleurs de la mer et les valeurs de la Bretagne. Le magasin Armor Lux propose des marinières, des tee-shirts rayés, des pulls marin, des vareuses, des cirés, des cabans, des duffles coat et décline également une collection de sous-vêtements pour toute la famille, tout en respectant ses valeurs : qualité, tradition et éthique.
Armor Lux est une entreprise fondée à Quimper par le suisse Walter Hubacher en 1938. L'ambition de Walter Hubacher était de créer et produire des sous-vêtements de grande qualité. En 1993, la marque est reprise par deux industriels bretons, Jean-Guy Le Floch et Michel Gueguen. En 1997, création d'une nouvelle ligne pour l'enfant, Armor-Kids.
Armor Lux est une entreprise citoyenne qui s'engage dans la démarche du développement durable et du commerce équitable. En 2005, Armor-Lux lance une ligne en coton équitable labellisé Max Havelaar. En 2007, la SNCF et l'Aéroports de Paris confient à Armor-Lux la fabrication des nouvelles tenues de leurs personnels.
En 2012, Armor Lux rachète 7 magasins La Bosse des Marques qui passeront sous l'enseigne bretonne d'ici la fin 2013. Avec cette reprise, Armor-Lux poursuit le développement de son propre réseau de distribution en France, composé aujourd'hui de plus de 40 magasins. L'enseigne Armor-Lux se répartit entre des petits magasins de centre-ville et des magasins de périphérie.
Octobre 2013, La FDSEA (Fédérations Départementales des Syndicats d'Exploitants Agricoles) du Finistère, a eu l'idée de symboliser le combat contre l'écotaxe et le portique de Pont-de-Buis par un bonnet rouge rappelant la lutte bretonne de 1675. Cette révolte bretonne appelée "du papier timbré" était une lutte contre les taxes fiscales. C'était sous le règne de Louis XIV . Aujourd'hui, les acheteurs du bonnet rouge se disent solidaires du mouvement et non de la violence.
Par ces temps anxieux (dus à la guerre en Ukraine et au virus de la Covid 19 toujours mondialement présent, pour ne citer qu'eux), nos modes de consommation ont changé et se font de plus en plus souvent sur internet, mais il faut veiller à ne pas oublier nos petits magasins de villes, qui font vibrer le coeur et font l'âme de nos communes. Ils créent des emplois, stimulent l'activité économique et définissent l'identité des territoires. Alors, n'hésitez pas à jouer de la proximité, afin qu'ils ne s'éteignent pas.
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