Le groupe Provalliance, son histoire, ses enseignes
Initialement, il y avait le groupe Gérard Glémain, qui est devenu le groupe Provalliance, le leader français de la coiffure.
Le groupe Gérard Glémain était le premier groupe français avec plus de 500 salons de coiffure. Gérard Glémain était le fils d'un cordonnier, en Anjou, et rêvait de connaître les secrets des mises en plis et des permanentes des salons parisiens. Pourtant, très jeune, il dut se résoudre à prendre le chemin de l'usine de chaussures sur l'ordre de son père. A sa majorité, il monta à Paris tenter sa chance et put, grâce à un ami de son père, s'inscrire dans la meilleure école de coiffure de Paris.
Il consacra dès lors sa vie à la coiffure et il deviendra quarante ans plus tard président du groupe Gérard Glémain. Aujourd'hui, le groupe Gérard Glémain appartient au groupe Provalliance.
Les enseignes du groupe Provalliance
 Coiff & Co, une enseigne de coiffure à petits prix, née en 1994. Spécialiste des coupes rapides à des prix vraiment sympas, Coiff & Co compte aujourd'hui 80 salons en France.
 Saint Algue, un réseau de coiffeur/visagiste pour les hommes et femmes entre 15 ans et 35 ans. Prix clairs, forfaits simples et devis garantissent une relation de confiance entre l'enseigne et ses clientes.
 Jean Louis David, un coiffeur réputé qui inventa la coupe dégradée qui donne du volume et de la légèreté aux cheveux, contrairement aux coupes rigides de l'époque.
 Franck Provost a obtenu, en 1977, le titre de Champion du Monde de la coiffure. Aujourd'hui, Franck Provost c'est 600 Salons en France et à l'international et une présence dans 20 pays.
 Fabio Salsa est une chaîne de salons de coiffure, visagiste et esthétisme. Il existe 54 salons en France.
 Niwel est une enseigne de salon de coiffure haut de gamme. Niwel est entièrement dédiée à la beauté des femmes noires, mates et métissées (méditerranéennes, maghrébines, caribéennes et africaines), désireuses de magnifier leur chevelure.
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Et aussi les salons de coiffure Intermède, Interview et Jean Marc Maniatis.
Par ces temps anxieux (dus à la guerre en Ukraine et au virus de la Covid 19 toujours mondialement présent, pour ne citer qu'eux), nos modes de consommation ont changé et se font de plus en plus souvent sur internet, mais il faut veiller à ne pas oublier nos petits magasins de villes, qui font vibrer le coeur et font l'âme de nos communes. Ils créent des emplois, stimulent l'activité économique et définissent l'identité des territoires. Alors, n'hésitez pas à jouer de la proximité, afin qu'ils ne s'éteignent pas.
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